Des objectifs clairs

Une deuxième condition pour obtenir un certain succès dans notre tentative de réponse à cette question complexe est d’avoir une vision assez nette de l’objectif poursuivi et de la façon dont on compte s’y prendre pour y arriver.

C’est pourquoi nous reprenons les objectifs à la fin de cette explicitation de notre démarche, pour éviter que nous les perdions de vue en cours de route, même s’ils avaient déjà été indiqués dans l’avant-propos (cf. page ‘Mise en place‘ ou le texte de la page d’accueil du site ainsi que la page ‘À propos‘).

Mais il faut accepter d’emblée qu’on pourrait bien ne pas parvenir à la fin souhaitée, vue la finitude humaine (pour faire court).
Comme le dit l’adage, ce n’est pas tant le résultat qui compte que la « participation ». Pour être sûr de profiter au maximum de cette occasion de nous épanouir, nous nous devons à nous-m^mes de fixer les principales étapes de notre aventure.

C’est à ce prix uniquement que nous aurons les moyens de savoir dans quelle proportion nous pouvons nous juger satisfaits du chemin parcouru.

Concurremment, ce n’est pas tant la quantité d’étapes franchies qui compte que la qualité des expériences (de lecture, d’écriture… bref d’éditorialisation !) vécues en s’efforçant de répondre à notre question (dans l’espoir de résoudre la problématique ?).
Il n’empêche qu’outre les préférences personnelles que chacun est libre d’invoquer pour juger du plaisir que lui a procuré le fait d’être engagé dans un tel projet, ce n’est qu’à la condition de se doter de critères pour apprécier la valeur des résultats obtenus que l’on se procurera les leviers nécessaires à évaluer « intersubjectivement » le degré d’achèvement de la démarche.

C’est ce qui constituera la troisième condition d’un essai réussi.

Revenez à la page ‘Démarche‘ pour vous rendre sur la page qui développe cette troisième exigence.

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